Tout a commencé par une balade pedibus dans Chenille à la découverte de ce petit village qui mérite le détour, protégé  par une vierge  qui domine le village. Une petite grimpette plus tard ils purent profiter de la vue sur la Mayenne sur laquelle quelques pêcheurs avaient jeté leurs lignes. Puis ils se rendirent en direction de l’église et du moulin qu’ils ne purent visiter, ce dernier étant fermé pour restauration. Un ouvrage d’art dans la Mayenne intriga Gilbert qui posa une colle à nos pédaleurs… était ce une échelle à poissons mais dans ce cas elle aurait laissé passer des baleines, un déversoir,  un on ne sait pas, le mystère reste entier…il était temps de retrouver  les bestioles qui commençaient à s’ennuyer, elles les attendaient virevoltant au vent qui commençait à souffler devinez dans quel sens,  dans le mauvais bien entendu pour nos cyclistes qui durent non seulement pédaler sur un faux plat,  pour le plus grand bonheur de Marie mais avec le vent dans  le nez. Après le passage du pont, on leur avait vanté les fresques d’Adeline Neveux, qui bien que gigantesques leur laissèrent un goût amer.. tant elles exprimaient la tristesse et l’ennui. ils regagnèrent ensuite les bords de la Mayenne et purent admirer écluses, moulins et châteaux 

la pluie s’étant  alors invitée, il leur fallut sortir leur habits non de gala mais de pluie.. trempés ils retrouvèrent Gilbert et Mimi qui fidèles à leurs habitudes avaient préparé le pique nique. La pluie ayant cessé ils purent déguster leur repas au sec si l’on peut dire. Repus ils gagnèrent  Château Gonthier où Marie Luce put se rendre en pèlerinage sur le lieu de sa naissance. Il fallut  se déguiser en Sherlock Holmes, trouver tout d’abord la rue du bout du monde puis le numéro auquel elle résida durant les premières années de sa vie. Ce ne fut pas une mince affaire mais grâce à Google et un peu de perspicacité ce fut fait pour son plus grand bonheur. Une photo plus tard elle rejoignit la partie du groupe qui était partie visiter l’église, encore une, St Jean Baptiste  et sa magnifique crypte. 
La pluie ayant fait son retour et redoublant l’intensité ils se réfugièrent, transis, dans un petit café qui n’avait rien à envier à la Cigale de Nantes au vu de son décors en faïence. Une mousse plus tard pour la majorité des pédaleurs, un jus de fruit pour les trois de la ligue bleue ils décidèrent de braver l’orage. Les filles à l’affût de la bonne occasion voulurent faire les boutiques tandis que les garçons retournaient à l’hôtel. Trempées mais bredouilles elles rentrèrent se changer.  
si la journée fut riche en belles demeures et monuments, cette richesse restera virtuelle malheureusement pour STC