Petite chute de Marie, dans la baignoire glissante, heureusement plus de peur que de mal. Petit dej copieux puis visite de la basilique, les vitraux sont aussi sinistres que ceux de la veille… les tapisseries apportent un peu de couleurs, puis direction le château qui n’aura pas l’honneur d’avoir notre visite. Direction nos vélos c’est avec regret que les filles quittent les berges de la Mayenne, une montée plutôt coriace les attend et Marie Luce et Marie la montent péniblement pedibus  tandis que Sylviane et Catherine impériales les doublent et arrivent presque en tête, devançant les garçons. Ils rejoignent alors le « chemin de vaches qui regardent les trains » mais pendant la première partie du trajet point de vaches. Leur aurait on menti ?  faux plat, descentes se succèdent, parfois le vent s’invite, le soleil quant à lui demeure dans les nuages, la luminosité est toutefois importante et les lunettes de soleil sont de rigueur, la température est relativement clémente, une horde de t schirt bleu déboule dans les descentes, tandis qu’ils peinent dans les faux plat tentant de rattraper Patrick, Le Breton, à qui ce matin Catherine a fait mangé, on ne sait quoi mais sûrement quelque chose qui lui a donné la patate… il caracole en tête fier sur son vélo. Au détour d’un chemin enfin des vaches, sur le bord des vélos de curé, nom donné au cyclamens par JP. Marie fait une petite halte et cueille quelques fleurs pour Mimi. Elle sera encore un peu plus à la ramasse mais tant pis, Mimi sera contente. Coup de téléphone de Gilbert qui les attend derrière l’église à Ceaucé pourvu qu’il ne le soit pas ! Et qu’il n.y ait qu’une église 
Repas copieux comme d’habitude, café chaud avec gâteau offert par M. J, merci à lui, les bestioles s’impatientent il faut reprendre la route. Il reste une quinzaine de kilomètres. A l’arrivée sur Domfront un cycliste semble les attendre et qu’elle n’est pas leur surprise de voir Alain qui les rejoint pour poursuivre avec eux l’aventure